Les résonances de Schumann sont une mesure des basses fréquences électromagnétiques terrestres (ondes sinusoïdales 3 à 30 Hz).
Ces résonances sont mesurées dans la cavité entre la surface de la Terre et l’ionosphère : elles expriment l’intense activité électrique.
Dans la physique conventionnelle cette activité électrique serait due aux éclairs et aux orages.

Dans ma compréhension et les infos que je réceptionne, elle est en fait due au passage de notre Terre (avec tout le système solaire bien sûr dans son trajet cosmique) dans l’anneau de photons scalaires des Pléiades. Ces photons reconfigurent et reconditionnent tous les astres avec leurs systèmes particuliers.
L’ionosphère est l’atmosphère supérieure de la planète, avec une très forte conductibilité électrique du fait de l’ionisation des gaz.

La fréquence fondamentale de Schumann est 7,8 Hz = la longueur d’onde correspondant à la circonférence de la planète. Les résonances se déploient en plus en harmoniques : 14,3 Hz, 20,8 Hz, 27,3 Hz et 33,8 Hz.

La résonance est excitée et agitée (en blanc sur les graphiques, ce que j’appelle les flashs) lors de fortes activations électriques qui stimulent l’activité électromagnétique de la planète et modifient ses équilibres au fur et à mesure des activations.
Les calculs de la résonance de Schumann nous offrent un début d’aperçu des modifications profondes de la planète alors qu’elle entre avec le système solaire dans l’influence de l’anneau de photons scalaires des Pléiades.

Si vous êtes intéressé à suivre le “monitoring de l’accouchement”, voici le lien vers le site qui propose une actualisation en temps réel des mesures des résonances de Schumann.

Comment lire ces graphes ? Lorsque c’est bleu ou vert, c’est calme. Les basses fréquences sont indiquées sur la gauche du graphique, les dates et heures en dessous. Il faut compter le décalage horaire avec la Russie pour la précision des heures.
La fréquence fondamentale est 7,8 Hz et elle est montrée comme une constante par la ligne horizontale qui se dessine. Les flashs blancs montrent la stimulation des harmoniques, dans d’autres fréquences. Plus les flashs sont longs et couvrant tout le spectre, plus l’activation et la reconfiguration de la structure électromagnétique de la Terre sont fortes.

Aujourd’hui (sur la photo ci-dessus, datée du 24 novembre 2019), le graphique nous montre une activité intense !

Sur le spectre des fréquences hertziennes sinusoïdales, les basses fréquences correspondent aux fréquences de notre activité cérébrale et nous sommes en résonance directe avec ces mouvements, qui configurent nos cerveaux, nos filtres, nos accès aux différents champs de conscience et d’expériences.

Si vous ressentez des symptômes en corrélation avec ces fluctuations, notamment de la fatigue ou de la tachycardie, voici quelques pistes :
la fatigue est le signal qu’il vous est demandé de laisser le corps au repos afin que puissent y œuvrer les forces qui reconfigurent la structure. Dans ces moments-là nous devons accepter de nous poser et de rester tranquilles. La tachycardie peut refléter l’angoisse que cela crée, d’une part au niveau de vos rythmes anciens qui sont modifiés (les rythmes corporels sont gérés par le cœur qui coordonne les différents rythmes énergétiques et physiologiques de nos structures). Je vous invite à vous mettre en cohérence cardiaque dès que vous sentez le début du symptôme afin d’aider la régulation.

Par ailleurs, il se peut aussi que la tachycardie soit la conséquence d’un stress mental. En effet nous pouvons avoir peur des changements, c’est normal car prévu dans notre système cérébral, notamment les zones reptiliennes et limbiques qui gèrent la survie et les émotions. Je vous invite à les rassurer depuis votre acceptation, compréhension et confiance dans le processus d’évolution.

Source: https://archere-stellaire.wixsite.com/

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