Canalisation publique du 10 mai 2022 par Sylvain Didelot, retranscrite par Marie-Claire.

Chers enfants, mes enfants, je suis Marie.

J’entends chacun des discours de ce monde. J’entends chacun des instants de ce monde. Certains peuvent trouver ce canal, ou d’autres, indignes de me recevoir, certains d’entre vous, même, refusent de me recevoir en leur cœur, mais sachez que je suis présente partout où l’on m’appelle et partout où l’on croit, car croire en moi ne génère pas mon existence, croire en moi facilite ma possibilité de communiquer, d’interagir avec vous.

Je ne suis pas venue réclamer croyance, je suis venue réclamer repentance, mais je vais m’expliquer sur ces mots, souvent mal compris.

Votre monde doit retrouver sa vertu, ses vertus, sa sagesse. L’Humain est un être sage. C’est un être paisible et c’est un être d’amour. C’est sa nature véritable. Toute autre nature, qui s’exprime et qui ne va pas dans ce sens, aurait été générée par une éducation dévoyée, par des quêtes de pouvoir inutiles.

Votre nature véritable est l’amour. Je vous connais mes enfants, je sais l’âme et le cœur de chacun d’entre vous. Je demande la conversion dans ce monde. Oh ! pas la conversion à la chrétienté de manière absolue, je vous demande de faire un effort, un effort vers vous-même, un effort pour vous aimer les uns les autres, un effort pour réussir à capter ce qui, en vous, cherche systématiquement un ennemi.

Il n’y a pas de pouvoir à trouver, en séparant.

 

Chères âmes, je ne peux pas dire que mon cœur est brisé, je peux juste vous dire que je suis envahie parfois par une certaine mélancolie à me dire : pourquoi cette famille se sépare ? Pourquoi ces êtres se séparent ? Pourquoi chacun d’entre eux, finalement, ne fait que rechercher quelqu’un à son image, croyant être bien uniquement avec ceux qui lui ressemblent ?

Vous connaissez cet adage : Qui se ressemble s’assemble. C’est vrai, mais aujourd’hui, chers enfants, vous voulez poursuivre votre évolution, vous l’avez demandé. Vous y êtes. Alors il s’agit d’assembler des gens qui ne se ressemblent pas, de réunir des êtres qui, dans l’apparence, ne seraient pas forcément faits pour vivre ensemble. Elle est là la conversion, de ne pas rejeter sans connaître, de ne pas rejeter sans savoir, d’enrichir sa conscience d’une autre culture, peut-être d’une autre religion, d’autres concepts, d’autres nourritures. S’enrichir de ces cultures est important.

 

Il ne vous est pas demandé de parler toutes les langues de cette Terre, je peux le faire et vous pouvez le faire aussi. Si vous touchez la Grâce divine, vous verrez qu’il existe une langue universelle que vous pouvez traduire par votre corps, mais il vous faut être connecté à Dieu en permanence pour cela, pas quand cela vous arrange, pas quand c’est possible, pas quand vous priez, mais en permanence, dans cette compréhension permanente de qui vous êtes, à chaque instant, à chaque moment et pendant des mois.

Ainsi, je demande à ce que vous fassiez l’effort de la pacification, si vous le voulez bien.

Je vous demande de prendre du recul, par rapport à tous ces moments où vous dites : « C’est de sa faute » ou « c’est eux qui » ce « eux » qu’on ne connaît pas parfois, « ceux-ci – ceux-là, s’ils n’étaient pas là, ça irait mieux ». Non, pacifiez votre esprit.

Répétez-vous ceci à l’intérieur de vous :

Chacun est à sa place, et les vagues d’Amour inonderont ce monde quoi qu’il arrive.

Autrement dit, peu importe votre action, ayez la foi mes enfants. Soyez convaincus que cette vague d’Amour que j’annonce recouvrira le monde. Elle engendrera un esprit différent, une clarification des consciences.

Melchisédech essaie de clarifier les corps. Permettez-moi d’essayer de clarifier les consciences, en vous invitant systématiquement à pacifier votre esprit.

 

Vous serez mis à l’épreuve et vous l’avez décidé. Donc beaucoup de choses viendront empêcher votre paix d’esprit, mais il faut résister à vos bas instincts, les réprimer ces bas instincts et entrer dans les hautes vibrations : l’aide communautaire, la fraternité, l’amour du prochain, l’amour de soi, l’amour de la nature, l’amour de ce qui est, l’amour de ceux qui œuvrent pour vous dans le Ciel et sur la Terre. C’est cela, le travail. C’est cela, l’œuvre.

 

J’entends certains, certaines d’entre vous, dire : « mais comment puis-je faire, je n’ai pas d’argent ? Mais comment puis-je faire, je suis seul(e) ? Mais comment puis-je faire, je suis envahi(e) par des méchants qui m’entourent ? Mais comment puis-je faire, je n’ai pas le choix, je n’ai pas le droit ? Mais comment puis-je faire ? » Je vous entends et je vous comprends, vraiment profondément, je vous comprends.

La réponse est de ne pas agir seul, de ne pas réagir seul, mais de trouver le moyen de vous assembler à plusieurs, de vous pacifier. Il n’y a pratiquement aucune bonne excuse pour ne pas vous réunir. Il y a toujours, et j’insiste sur ce mot toujours, une solution faite pour l’amour. Il y a toujours quelque chose qui peut agrandir votre esprit. Et quand vous entendez : « oui, mais, oui, mais, oui, mais, oui, mais » dans votre tête, c’est que vous acceptez encore, et encore, et encore, et encore le rôle de la victime, le rôle de celui qui est séparé, le rôle de celui qui pense l’être et qui ne peut pas l’envisager autrement.

Cela est votre choix. Vous me direz : « non, je n’ai pas le choix » alors je vous le dis, en vérité vous avez toujours le choix, mais ce sont souvent les conséquences de ce choix que vous n’arrivez pas à aborder dans votre conscience. Et vous n’arrivez pas non plus à faire confiance, ni en vous ni aux autres.

Ouvrez-vous à la paix et à l’amour.

 

Ouvrez-vous à la paix et à l’amour, il est temps. Les vagues d’Amour vont remplir ce monde. Elles balaieront ceux dont l’âme est noire, sombre, ou pas prête à ce monde d’amour qui se prépare, de toute façon.

N’attendez pas cela comme une victoire, car chaque être qui sera submergé de cette vague d’Amour et qui ne sera pas prêt ne sera pas prêt parce qu’aucun de ses frères ou aucune de ses sœurs ne sera venu l’aider, ne sera venu l’éveiller, ne sera venu l’assister. Il n’y a pas de victoire à voir partir l’ombre. La seule victoire, c’est quand l’ombre devient Lumière. Ceci est une victoire.

Comprenez ce que je suis en train de vous dire ici. Chacun d’entre vous, par la prière, par un sourire, par sa présence consciente, peut aider : empêcher un jeune homme de partir dans des divagations, empêcher un vieil homme de ne plus croire en la vie, empêcher un être de commettre des actes répréhensibles.

 

Dans l’Amour que je Suis, ceux que j’essaie de préserver au maximum sont les enfants, et ces petits êtres d’amour que représentent les animaux. Ce sont eux, vers eux que je tourne mon cœur, car je reconnais autant l’innocence des enfants que l’innocence des adultes, mais je souhaite préserver l’innocence des enfants.

Veillez à ce que cette innocence soit préservée. Laissez-les penser et créer le monde qu’ils désirent, pas le monde des désirs de quelqu’un d’autre. Ne laissez pas vos éducations les brider ou leur faire croire que le camarade, l’ami, le frère, la sœur, qui est à ses côtés peut être dangereux ou dangereuse pour lui ou pour elle.

Préservez cette génération d’Amour. Préservez ces enfants. Ce sont eux qui construisent ce monde que nous évoquons. C’est eux qui construisent ce monde d’Amour.

Quel est ce peuple qui a refusé de donner une petite partie de sa liberté, pour ses jeunes, pour ses enfants ? Quel est ce monde-là, égoïste, égotique, pensant que la solution se trouve dans l’individu et pas dans le collectif ?

Dans la période que vous venez de traverser, il est probable que vous avez cherché, là aussi, votre bonheur individuel plutôt que le bonheur collectif.

 

Il ne s’agit pas d’enfermer tout le monde à chaque catastrophe, mais de préserver les malades, de préserver ceux qui ont des besoins spécifiques, préservez-les, de les aider même particulièrement. Mais pourquoi enfermer et brimer tout un ensemble de population ?

Je vois cela sur la Terre en ce moment. Je suis tellement, pas désolée, le véritable terme est un gâchis. Je trouve que c’est tellement gâcher la conscience humaine. C’est gâcher ce temps précieux que vous avez sur la Terre.

Alors la vague d’Amour viendra tout éclairer, et vous comprendrez qu’il faut préserver les faibles, les innocents, toujours, mais ne pas arrêter le monde pour une catégorie ou une autre.

 

Laissez ce monde se poursuivre. Laissez ce monde avancer.

Vous en vivrez des écarts, des catastrophes, qu’elles soient naturelles, spirituelles, émotionnelles, physiques, virales, vous en vivrez beaucoup.

Mais il faudra continuer, continuer encore, et l’épreuve de la foi , elle est là.

Est-ce que ma foi vacille au moindre évènement qui vient changer mon quotidien, ou est-ce que ma foi reste la même ?

Est-ce que je désire continuer à servir une œuvre plus grande que moi, un être plus grand que moi, que celui-ci soit mon Dieu, ma Conscience supérieure, mon Guide ou ma fratrie elle-même, pourquoi pas, même si elle est grande, surtout si elle est grande ?

Mais évitez ce mouvement de repli sur vous-même. Éviter ce repli est très important. C’est mon invitation.

 

Et quand je dis : convertissez-vous, c’est une invitation peut-être à laisser mon cœur et mon énergie vous toucher, car je peux vous donner une sorte d’échantillon d’énergie correspondant à cela.

Je peux vous délivrer de ce mal qui vous ronge, et qui vous rend égotique par peur, par angoisse souvent. Alors, appelez-moi à vos côtés. Appelez-moi comme vous voulez, choisissez-moi un nom, une énergie ou ce que vous désirez, mais appelez-moi. Je suis prête à vous aider, toujours ; prête à infuser à l’intérieur de vous cet échantillon de paix et de calme, cette possibilité.

Et quand vous l’aurez touché, même si cela semble disparaître quand vous n’êtes plus à mes contacts, souvenez-vous que ce que vous aurez ressenti en ma présence, ou en la présence des guides, si vous l’avez ressenti une fois, c’est que votre corps est capable de le revivre toujours, et que ce sont vos choix qui vous empêchent de retoucher à cette Grâce que nous vous offrons temporairement et régulièrement, dans des lieux saints, ou des moments saints. Rien dans votre corps n’empêche le retour de cette énergie, que votre propre croyance.

 

Et plus votre croyance est individuelle, plus votre pouvoir est individuel, et plus celui-ci est inutile et va vous demander une énergie de plus en plus pénible et difficile.

Croyez-en la communauté, non parce que cela est nécessaire dans le but de survivre, mais parce que c’est votre nature véritable. C’est ce que vous êtes, en vérité, vous êtes des êtres liés.

 

Mes amis, mes enfants, chaque moment à vos côtés est une Grâce.

J’ai été éduquée et élevée par des parents qui m’ont appris cette Grâce, cette foi. Des parents qui ne m’ont pas appris à croire, mais à savoir que jamais, jamais, rien ne me séparerait du Divin, de l’Éternel, que je possédais en moi une part de cette éternité et que c’est au nom de cette part d’éternité, que je devais être présente sur Terre, que je devais exercer et choisir.

Je ne choisis pas en fonction de la part temporaire qu’était mon corps, mais en fonction de la part d’éternité qui était en moi. Chacun de mes choix était dirigé dans ce sens éternel, car l’éternité est ma vérité, et c’est la vôtre aussi, mes enfants.

 

Quand vous réfléchissez à travers l’éternel en vous, la réflexion est souvent différente, mais elle vous amènera souvent à plus de paix et à moins de difficultés manifestées.

 

Chers enfants, dans l’Amour et dans la Paix, nous ne sommes jamais séparés. Ma présence à vos côtés annonce la vague d’Amour qui traverse le monde. Que votre cœur se réjouisse. Il ne s’agit pas de l’attendre, mais de savoir que tout est déjà présent, que nous vous aiderons.

Mais là aussi, Melchisédech a raison, nous ne sommes pas la base de votre transformation, vous êtes la base de cette transformation.

 

Je vous bénis dans toute l’énergie qui peut vous traverser. Je demande à ce que la Lumière œuvre et traverse chacune de vos cellules et guérisse, en cet instant, chacun d’entre vous.

 

Vous êtes éternels. La Paix, l’Amour sont votre nature.

Aimez-vous les uns les autres, sans cesse.

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Sylvain Didelot

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