par Jean-Philippe Marcoux d.c.

Dans la suite de la dernière capsule, nombreuses questions et réflexions vont prendre forme. En voici quelques-unes.

Combien d’entre vous se sont-ils retrouvés obligés d’être assis à une certaine place dans une salle de cours à cause de « stupides règles scolaires de bons ou mauvais élèves » et qui a « provoquées » sans le réaliser des difficultés d’apprentissage et d’intégration des matières enseignées ?

Combien d’entre vous se sont-ils retrouvés dans une salle de réunion, dans une salle de cinéma, dans une chambre d’hôtel avec un lit positionné à gauche ou à droite, dans un train, dans un avion, être assis dans telle rangée sur la gauche au centre ou sur la droite, en avant ou en arrière, et ressentir une sensation désagréable, de la confusion, de la fatigue, de l’insomnie et même de la panique ? Que votre désir aurait été de « changer de place », d’être ailleurs, mais cela était interdit ou impossible ou impoli !

Se sont des questionnements et constats de cette nature qui m’ont poussé à identifier une « possible et potentielle cause » à ces ressentis soi-disant irrationnels, immatures et même enfantins.

L’identification de chaque Profil neuro-sociologique des droitières, des droitiers, des gauchères et des gauchers a permis d’avoir des réponses claires et précises face à des comportements, des expressions, des ressentis de déséquilibre ou d’équilibre en rapport à être ou ne pas être à sa « juste place ».

Voici quelques domaines qui ont été explorés :

Activités physiques, orientation alimentaire, la vie sociale, la vie professionnelle, l’aspect vestimentaire, le lieu d’habitation, façon de conduire, le modèle de véhicule, votre choix de films, le type de relation de proie ou prédateur, l’orientation sexuelle, votre regard social, le célibat, réaction à l’alcool et aux médicaments stimulants ou inhibiteurs, vitesse de récupération, types de maladies à Principe Féminin ou à Principe Masculin, vous utilisez des repères linguistiques reliés au passé, au présent ou au futur ?????

Reconnaître son Profil neuro-sociologique permet de mieux vous comprendre, de savoir ce qui est juste pour vous et ce qui met en péril votre équilibre et harmonie interne et externe. Cela nous permet d’appliquer l’adage suivant : Vaut mieux prévenir que guérir !!!

Reconnaître le Profil neuro-sociologique de l’autre nous permet « d’adapter » notre approche en respectant sa nature profonde et ainsi améliorer la relation personnelle et professionnelle.

La suite demain sur la PG

Formateur – Coach privé – Chiropracteur et Thérapeute
Le Dr Jean-Philippe MARCOUX d.c. est titulaire d’un doctorat en chiropraxie diplômé en 1983 du CMCC de Toronto (Canadian Chiropractic Memorial College).

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