Par Néo
Jusqu’à aujourd’hui, je n’avais pas saisi ce syndrome de Peter Pan.
Prendre de l’élan pour avancer vers la vie des grands.
Cette folie des grandeurs m’a toujours fait peur, sortir de ma zone de confort pour ouvrir les portes de mon cœur.
Faire des erreurs pour apprendre les leurres, entendre cette douleur d’assumer mes dons salvateurs.
Ces transmissions qui ont changé ma condition de vie malgré mes freins et mon déni.
La vie me montre du bout du doigt ce qui vibre en mon for intérieur, cette lumière qui jusqu’alors était restée dans l’ombre du décor.
Je suis resté immobile, spectateur de mes observations et de mes perceptions.
Mes flashs, mes images, ces sensations qui parcourent mon être me font admettre que la dualité a déjà sonné la retraite.
J’ai beau vouloir changer de direction, peu importe la destination, la voyance ou la guidance revient comme une évidence.
Des personnes résonnent avec mes œuvres, mon art de délivrer un message rayonnent.
De toutes parts, des individus m’interpellent pour me confier que je raconte leurs récits et ils sont surpris de la véracité de mes retranscriptions, des mots choisies.
Je dévoile le reflet miroir de mes parts qui impacte une faille concernant un détail interférant leur parcours que ce soit professionnel ou en amour.
Pourtant, mon enfant Intérieur pleure souvent.
Il a tellement besoin de reconnaissance et plus que jamais l’élan de sortir de sa souffrance.
Malgré mon manque de confiance, j’ai décidé de laisser l’univers me guider.
Je vous partage mes connaissances, mes interprétations.
La confusion entre un handicap et d’une descendance, une lignée qui m’a donné ces facultés de pouvoir aider les autres.
La façon de comment j’ai développé mes sens, l’expression artistique.
Le dessin anime l’identification du faux self
La poésie abîme lentement l’ego
Le chant incrimine les entités qui tentent de rester dans le jeu de la manipulation.