UN REGARD PLUS PROFOND SUR LES ÉNERGIES CACHÉES DU DIABÈTE DE TYPE 2
Par Anna Merkaba
Je veux partager quelque chose de profondément personnel et éclairant qui m’est venu lors d’une séance de guérison. Une belle âme est venue à moi avec un diabète de type 2, accompagné de symptômes de fatigue, d’inflammation et d’une lourdeur omniprésente qu’elle ne parvenait pas à dissiper. En surface, elle avait toutes les explications médicales — résistance à l’insuline, déséquilibres alimentaires — mais dès que je suis entrée dans son champ, j’ai été guidée ailleurs.
L’Esprit m’a menée directement derrière son oreille — vers la zone gouvernée par le Méridien du Triple Réchauffeur — le thermostat énergétique du corps. Et en me connectant, les couches émotionnelles ont commencé à se dévoiler. Ce n’était pas seulement une question de sucre dans le sang. C’était une question d’amour. Ou plutôt, de son absence.
Avant que vous ne rejetiez cela comme une simple métaphore spirituelle, laissez-moi vous guider dans ce que j’ai vu — non seulement chez elle, mais chez tant d’autres que j’ai accompagnés avec ce diagnostic.
Le langage invisible du corps : quand le sucre signifie l’amour
En Médecine Traditionnelle Chinoise, le diabète était autrefois appelé « diarrhée de sucre » — ou plus précisément, « diarrhée d’amour ». C’est comme si le corps, en quête de douceur, ne pouvait la retenir. Les cellules rejettent le sucre. L’amour, la douceur, la chaleur de la vie — tout cela reste non assimilé. Cela passe à travers, non reçu.
Cette cliente avait passé sa vie à donner. À prendre soin des autres. À être présente. À rester dans un lieu — émotionnellement, physiquement et spirituellement — qu’elle avait depuis longtemps dépassé. Et pourtant, elle demeurait.
Pourquoi ?
Parce que la personne dont elle se sentait révulsée était quelqu’un dont elle avait autrefois désespérément voulu être aimée. Son père.
Les racines de la résistance : quand le corps ne peut digérer ce que le cœur refuse de ressentir
Il existe quelque chose appelé Engagement et Cohérence — nous avons tendance à nous accrocher à ce à quoi nous avons dit oui, même quand cela ne nous sert plus. Cette belle âme avait dit oui à l’amour — un amour retenu, conditionnel, jamais pleinement offert. Et des décennies plus tard, elle tentait encore d’honorer cet engagement.
Le pancréas — l’organe même qui régule le sucre — est énergétiquement lié à Pan (la totalité) et Crea (la chair). Il régit notre relation avec la création, avec la douceur de la vie, avec notre propre sentiment de mérite. Et quand l’amour est refusé, le pancréas enregistre cette trahison. Avec le temps, il cesse de retenir la douceur. Le corps reflète littéralement la blessure émotionnelle : Je ne peux pas garder la douceur. Je ne peux pas digérer la joie. Je dois vivre sans elle.
Ce que j’ai découvert dans la séance : un corps coincé entre désir et répulsion
En travaillant dans son champ, les images qui me sont venues étaient profondes. Une version plus jeune d’elle, toujours attardée près d’un cadavre métaphorique — le souvenir d’un amour jamais reçu. Elle était prisonnière d’une boucle d’attente. Attendant l’affection. Attendant l’approbation d’un père. Attendant le moment où sa présence serait enfin suffisante.
Mais l’amour n’est jamais venu.
Et ainsi, le corps, dans sa grande sagesse, a commencé à refléter la douleur. Le sucre s’est rebellé. Les cellules ont refusé de s’ouvrir. Le système nerveux, submergé par une vie de déséquilibre émotionnel, a cherché à se protéger dans la rigidité. Elle vivait dans ce que je ne peux décrire que comme un état de cœur brisé à faible intensité — chronique et non diagnostiqué.
Briser le cycle : que se passe-t-il quand nous réclamons la douceur
J’ai vu la transformation se produire. J’ai vu ce qui arrive quand une personne se donne la permission de réclamer la douceur de la vie.
Pendant sa guérison, nous n’avons pas seulement travaillé sur le pancréas, mais sur ses croyances au sujet de l’amour. Son idée qu’elle n’en était pas digne. Son conditionnement qui lui disait de « rester » alors que son âme murmurait « pars ». Nous avons libéré des schémas ancestraux de famine émotionnelle. Nous avons fait entrer une lumière violette de haute fréquence pour purifier les empreintes émotionnelles dans son champ cellulaire.
Son corps avait donné et donné — maintenant, il était temps de recevoir. D’adoucir les contours. De permettre la joie. D’accueillir à nouveau la douceur — non par obligation, non des autres, mais comme un cadeau qu’elle choisissait de s’offrir.
Cela vous parle-t-il ?
Si vous luttez avec le diabète de type 2, ou si vous ressentez un poids émotionnel persistant qu’aucun changement alimentaire ou plan médical n’a touché — sachez ceci :
Vous n’êtes pas brisé.
Vous n’êtes pas faible.
Vous n’êtes pas coincé.
Votre corps essaie peut-être de vous montrer quelque chose que votre cœur n’a pas osé pleinement ressentir. Et votre guérison ne commencera peut-être pas avec un autre supplément — elle pourrait commencer par une seule question :
« Où ai-je cessé de laisser entrer l’amour ? »
Ce n’est pas seulement une question de sucre. C’est une question de vous.
Nous chérissons ce que nous croyons rare. Et pour tant de personnes atteintes de diabète, la substance la plus rare n’est pas le sucre — c’est l’amour de soi. C’est la permission de recevoir. C’est la croyance que vous n’avez pas à gagner la douceur. Vous êtes déjà cette douceur.
Si cela résonne en vous, ou si vous sentez que votre guérison doit aller au-delà du physique, je vous invite à explorer une guérison plus profonde avec moi. Que ce soit à travers une Séance de Guérison à Distance ou un Réalignement Énergétique, sachez que vous êtes soutenu. Et vous n’êtes jamais seul dans ce voyage.
Laissez votre corps être le messager — pas l’ennemi.
Laissez-le vous ramener à la douceur que vous avez toujours méritée.
En vous envoyant beaucoup d’amour et de hautes vibrations !
English version : https://sacredascensionmerkaba.com/
Traduit et partagé par la Presse Galactique
