Transmis par l’équipe de la Presse Galactique
Dans le mystère du passage de la vie à la mort, la question de l’euthanasie soulève des réflexions profondes, touchant à la fois le cœur et l’âme. La souffrance, bien qu’éprouvante, n’est jamais vide de sens. Elle tisse une part essentielle du voyage spirituel, un fil conducteur qui guide l’âme à travers ses apprentissages.
Face à la douleur d’un être cher, humain ou animal, l’élan d’empathie nous pousse souvent à vouloir abréger son épreuve. Cet acte, empreint de compassion, semble offrir un soulagement. Pourtant, choisir d’interrompre une vie, même par amour, engage une responsabilité qui dépasse notre compréhension terrestre. Le lien entre l’âme et le corps relève d’un ordre supérieur, d’une sagesse qui échappe à notre volonté. Intervenir dans ce processus, c’est peut-être méconnaître la portée de la souffrance dans l’évolution de l’âme.
Chaque fin de vie est un seuil, un passage où l’âme se prépare à sa transition. Vouloir hâter ce moment, par peur, inconfort ou attachement, reflète parfois davantage nos propres besoins que ceux de l’être en partance. Décider du moment où une âme doit se libérer n’appartient pas à l’humain incarné. Cette prérogative repose entre les mains d’une intelligence plus vaste, celle du Créateur, qui orchestre le cycle de l’existence avec une justesse infinie.
La véritable compassion s’exprime autrement. Elle réside dans l’accompagnement, dans une présence aimante qui enveloppe l’âme en transition. Prier, offrir la paix, entourer d’amour : ces gestes honorent le rythme naturel du départ. Tenter de contrôler cet instant, même avec les meilleures intentions, risque de perturber un équilibre subtil, laissant des empreintes invisibles sur le plan karmique.
Ainsi, la sagesse nous invite à lâcher le besoin de tout maîtriser. Être présent, écouter, respecter les lois profondes de la vie, voilà ce qui soutient l’âme dans son envol. La souffrance, aussi dure soit-elle, est une porte vers une transformation plus grande. En l’accueillant avec humilité, nous permettons à l’âme de suivre son chemin, libre et alignée avec l’ordre divin.
Dans ce mystère, nous apprenons que l’amour véritable n’est pas toujours dans l’action, mais dans l’acceptation et la confiance en ce qui est. Ensemble, honorons chaque vie, chaque passage, avec un cœur ouvert et une foi profonde en la perfection de l’Univers.
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