Message de l’Être reçu par Agnès Bos-Masseron 

Le choix d’être plénitude détend les structures et mène à un autre état de la physiologie.

Être plénitude simplement. Faire de cela la priorité. Au lieu d’attendre que les circonstances mènent à la plénitude, choisir de servir la plénitude par son attention. Choisir de l’incarner. Cela en soi est un tremplin pour le beau déroulement du succès dans toutes les avenues de la vie.

Ce choix d’être plénitude, en soi, mène à un autre état de la physiologie car le choix d’être plénitude détend profondément les structures. Au lieu de se tendre vers un état plénifié, offrir la pleine attention à la plénitude. L’inviter, la reconnaître, l’honorer. Ainsi créer la base adéquate pour le déploiement de toutes les avenues du quotidien.

L’une des erreurs pour l’humanité a été d’attendre que quelques circonstances viennent justifier l’accès à la plénitude. Cela n’est jamais le cas.

Lorsque le souffle est qualifié de la plénitude, le souffle vécu en conscience intensifie le ressenti de plénitude puisque l’attention donne vie. Bien ramener dans la conscience la puissance du souffle dans l’art de la précipitation, l’art de la création, l’art de vivre au cœur de la création.

Lorsque l’attention s’appuie sur la plénitude, tout s’ouvre. Les cellules alors s’emplissent de cette autre fréquence, la fréquence de l’amour. Les cellules jubilent. Alors elles intensifient la connexion avec ces fluides sacrés qui peuvent nourrir la structure cérébrale, la colonne vertébrale et tout le corps. Pour les éveiller, il suffit d’être pleinement la plénitude. Non l’acte mental de quelqu’un qui penserait à la plénitude mais l’être qui s’incline dans sa totalité pour reconnaître que Je Suis Cela, Je Suis la plénitude.

Lorsque l’attention est tout offerte à être plénitude, l’énergie dans les chakras se fluidifie. La rotation de l’énergie monte en fréquence. Ainsi aussi est transmuée la structure cellulaire, la structure de la matière, pour que la matière retrouve pleinement la mémoire de Je Suis lumière.

Lorsque l’attention reste centrée sur l’évidence que seule est la plénitude, la structure cérébrale retrouve son appui naturel et offre l’appui à la structure du cœur. Les deux sont une seule entité. Ainsi, de par cette fréquence accrue, cette fluidité accrue dans la structure des cellules, dans la structure cérébrale, dans la structure du cœur, le corps s’éveille à une autre intensité de fréquence, à une autre intensité de simplicité.

Naturellement lorsque le corps est fluidifié par l’attention offerte à la plénitude, dans la pleine présence d’être plénitude, la relation avec tout ce qui est rencontré se fluidifie. Naturellement l’Être que Je Suis nourrit tout ce qui est perçu.

C’est ainsi que je projette une réalité à l’image de mon intention première. La Terre, la société, le monde, sont plénitude. Voyez la beauté de l’action de ce positionnement sur tout ce qui est rencontré. Là est un des plus grands ferments de transfiguration et de transformation. Encore faut-il que cette attention offerte à la plénitude soit depuis la pleine présence. La pleine présence se doit d’être cultivée avec toujours plus d’enthousiasme, d’intensité de présence, la présence à la présence.

C’est dans cet état d’ouverture, lorsque la physiologie est offerte à cet autre état, à cette autre structure, que l’art de la précipitation d’une intention peut être activé.

Auteur : Agnès Bos-Masseron

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