par Sandrine Mael

Lorsque les voiles tombent l’océan infini se répand devant vous. Vous avez accès à tous les possibles inimaginables. L’océan illimité et incommensurable de vie est le terreau de toute manifestation quelle qu’en soit sa forme.

Ce qui empêche l’éclosion de tes désirs prend racine dans l’image du passé à laquelle tu t’es raccroché. Lorsque tu romps le lien avec ces images du film d’un vécu révolu alors tu laisses la vie t’offrir les plus belles de ses réalisations.

Ce que tu vois dans ton monde extérieur qui te fait rêver n’est que toi la conscience à laquelle tu crois ne pas avoir accès par manque d’amour. Ce n’est qu’une illusion générée par ton filtre qui obstrue la vue sur l’immense capacité à te donner les plus beaux cadeaux même ceux que tu penses irréalisables. Ce n’est que le personnage auquel tu t’identifies qui croit pouvoir obtenir les choses par lui-même. Or, il est impuissant face à la vie. Et il n’a aucun pouvoir sur le film si ce n’est mettre les freins et les limites engendrant la souffrance au passage.

Mais c’est par ce chemin-là que tu te dévoiles in fine.

Lorsque tu le réalises enfin, tu découvres cette immensité de beauté et de gamme de couleurs et de textures, c’est là que le désir émanant de la volonté s’évanouit laissant le plaisir prendre place. Comme il n’y a plus rien à faire pour obtenir ces désirs, tout arrive dans la simplicité d’Être.

Le désir véhiculé par la volonté ne s’obtient que par le manque, quand le désir émanant du coeur se manifeste dans la joie d’Être cela même.

Source: https://epanews.fr/

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