Transmis par Sylvain Didelot

Retranscris par Michèle Canal de Lumière

Image de Marianne Lemarchand

Je suis Marie, Maître Marie comme certains m’appellent.

J’aimerais prononcer avec vous de grands voeux dans ce mois, dans ces instants que vous vivez un peu partout sur la planète. Mon grand vœu est pour l’ouverture du cœur,mon grand vœu est pour l’ouverture à la conscience, à l’amour qui vous traverse.

Vous pouvez comme cela vivre une période en vous imaginant que tout ce que vous vivez est inadéquat, inopportun, mériterait d’être transformé, ou n’est pas à sa place. Alors, bien que cette loi qui dit que rien n’est immuable, que tout bouge, que tout est en mouvement et impermanent, bien que cette loi existe, elle vous invite aussi à vous poser, dans ce mois-ci, dans une grande énergie de remerciements pour tout ce qui se passe. Il ne s’agit pas de maudire l’obscurité mais de saluer la lumière, de saluer la lumière dans une grâce, dans une énergie commune, de remercier que tout soit en train d’évoluer, de bouger d’abord tranquillement, puis dans un mouvement planétaire, dans un mouvement d’envergure, dans un mouvement qui prend une très grande force. Ce mouvement sera accompagné par la nature.

Bien sûr l’homme est présent, mais la nature elle aussi se met maintenant en mouvement et en ordre de marche pour recevoir la plus grande lumière qui soit. Le dialogue que j’ai avec vous, à travers Sylvain aujourd’hui, bien que je pense lui passer un message un peu avant Noël pour vous le répercuter, le message que j’ai est un message de réconciliation intérieure et extérieure avec tout ce qui est.

Je vous invite à la plus grande des tolérances, je vous invite au plus grand amour pour votre prochain, à pouvoir aider ceux que vous pouvez aider, à pouvoir aimer ceux que vous pouvez aimer. Oh je ne vous inviterai pas à aimer tout le monde, mais à ne maudire personne. C’est tellement important dans l’énergie de comprendre à quel point la lumière passe toujours par la lumière, à quel point on ne peut pas obtenir de résultat positif en passant par quelqu’un qui, sans cesse, maudit l’obscurité, qui sans cesse veut s’appuyer, détruire, en passant par un ancien monde, mais en passant par des esprits lumineux, en passant par des esprits ingénieux, et la nature est ingénieuse, votre univers est ingénieux, un génie devrais-je dire, car des tas de solutions nouvelles peuvent vous être proposées maintenant, dans vos méditations, dans vos espaces intérieurs, dans vos réunions communes. Vous pouvez demander à recevoir cette énergie, cet environnement commun pour chacun d’entre vous, à recevoir le nouveau monde ou d’autres mondes quelque part, car il existe des propositions venant d’autres espaces qui vous parviendront.

Cette période de gratitude vous pousse aussi à vraiment vous concentrer sur la lumière, sur ce que vous avez, pas sur ce que vous n’avez pas, sur ce que vous comprenez, pas sur ce que vous ne comprenez pas. Vous cherchez à vouloir encore transformer l’autre, vous continuez à lui vouloir explication, à vouloir qu’il se justifie, à vouloir… mais aimeriez-vous cela de vous-mêmes ? Aimeriez-vous qu’on vous pousse dans ces retranchements de devoir expliquer à chaque instant tout ce que vous faites plutôt que de faire une proposition ?

Faites-vous à vous-mêmes, à titre personnel j’entends, une proposition d’amour, une proposition de paix, une proposition de joie. Entrez dans votre intérieur mes enfants, entrez à l’intérieur de vous profondément et retrouvez cet enfant qui veut être aimé tel qu’il est, et pas tel que vous l’avez imaginé ou que d’autres l’ont imaginé. Voyez à quel point chacun d’entre vous, finalement, est un être fragile qui fait au mieux dans son existence humaine, dans une existence duelle. Vous n’avez pas la chance de pouvoir percevoir vraiment tous les possibles en même temps pour la grande majorité d’entre vous, alors vous vous fiez à ce que vous voyez, à ce que vous entendez, mais bien des secrets existent au-delà de cela, bien des vérités vous sont encore cachées, mais ici à l’intérieur de vous vos propres vérités aussi sont donc cachées, puisque vous ne pouvez, j’insiste un peu là-dessus, percevoir à l’extérieur de vous que ce qui existe en vous.

A celui qui ne se cache rien à lui-même, il ne sera jamais rien caché, vous trouverez toutes les vérités par bien des voies. Mais à celui qui se cache un tas de choses à lui-même, qui veut se cacher derrière le fait qu’il n’aille pas bien, derrière le fait qu’il soit fatigué peut-être, derrière le fait qu’il soit angoissé, derrière le fait qu’il soit obligé de jouer un rôle, il ou elle, derrière cela se cachent des gens qui sans cesse n’auront qu’une vérité partielle qui leur parviendra, parce qu’ils ne s’autorisent pas à comprendre qu’ils se mentent à eux-mêmes, ils ne s‘autorisent pas à être simples, elles pour changer ne s’autorisent pas à être fragiles, à être sensibles.

Autorisez-vous cela, posez-vous dans cette énergie de ce mois, posez-vous dans la gratitude infinie, posez-vous dans cet espace qui vous permet de recevoir beaucoup d’énergie du ciel, pas de demander, entre guillemet j’allais dire, pour vous, mais de demander pour la planète, de demander pour votre pays si vous le voulez, votre contrée, votre espace, votre village, mais essayez de penser plus grand que l’unité que vous êtes, parce qu’en pensant plus grand, vous vibrez plus grand et qu’il existe une loi universelle qui dit que celui qui peut le plus peut le moins et qu’en vérité, si vous offrez votre énergie à une multitude, alors à vous-mêmes cela sera plus simple. En vous concentrant sur un objet, sur une perception, et c’est l’enseignement que nous avons déjà donné mais nous le redonnons, en vous concentrant sur une perception limitée vous ne pouvez obtenir qu’une vision limitée. Autrement dit si vous concentriez à 100 % sur vous-mêmes vous n’arriveriez qu’à 60 % de vous, mais si vous vous concentrez à 100 % sur d’autres personnes sur un groupe, alors il est fort probable que ces 60 % d’un groupe représente 140 % de vous, autrement dit que cela vous permette à travers l’autre, à travers des effets de miroirs, à travers des demandes de pardon à vous-mêmes et à l’autre, eh bien de recevoir à nouveau tout ce que vous avez perdu, d’éveiller en vous cette nouvelle vision, cette nouvelle perception de l’unité, de vous autoriser cette fragilité, de vous autoriser à reconnaître en l’autre l’unité que vous êtes, c’est-à-dire d’accepter d’être dans une multitude, de ne pas avoir honte, de ne pas avoir peur d’aller à la rencontre de celui qui sait, de celui qui peut aider.

Il ne s’agit pas ici de se trouver trop fragile, inutile, complètement j’allais dire, irresponsable, mais au contraire, de sentir que c’est tous ensemble que vous avez une responsabilité sur chaque « un », de sentir que l’amour qui se développe en vous grandit à chaque instant, de vous autoriser à vous ouvrir à la multitude. Je vous invite à penser à ces gens que vous aimez, au moins à vos proches. Je vous invite à penser à eux, non en termes de vouloir comprendre leur fonctionnement, non en termes de vouloir savoir ce qui leur passe par la tête, ou pourquoi ils sont ceci cela, comme ceci, comme cela, mais de les voir comme les enfants d’un même groupe, les enfants d’une même classe à laquelle vous participez, d’une même communauté, d’une même fraternité même.

Alors bien sûr quand on parle de fraternité entre frères et sœurs parfois il peut y avoir des échauffourées, parfois il peut y avoir des combats qui se lèvent, mais cela empêche-t-il l’amour vraiment ? En réalité ,ce n’est qu’une illusion le fait de ne pas aimer sa famille, une illusion que vous vous donnez parce qu’elle rend acceptable les jugements que vous avez perçus, reçus ou même émis de votre part. Mais je vous invite à quitter cette perception et à accepter effectivement d’avoir été celui qui a jugé, qui a condamné, qui a posé questions, mais de vous dire : maintenant je commence à comprendre, comme nous sommes une unité.Je vais systématiquement récolter ce que j’ai semé. Si j’ai semé le jugement, je reçois le jugement, si j’ai semé des angoisses, je vais récolter des angoisses, mais si j’ai semé l’amour, si j’ai semé la paix, si j’ai au moins semé la tolérance et l’acceptation de l’autre, alors je recevrai la tolérance et l’acceptation de l’autre.

Oh vous savez mes enfants, j’entends très souvent : oh mais moi j’accepte tout le monde, mais on ne m’accepte pas. Mais cela n’est pas vrai. Cela n’est jamais vrai, tous ceux qui disent cela ont quand même des préjugés sur des gens que vous appelez des extrémistes, ils trouvent cela insupportable. Il s’agit encore de jugement. Lorsque je vous invite à ne plus juger cela ne signifie pas de ne pas avoir le discernement, de ne pas vivre avec ceux que vous n’aimez pas ou moins, cela signifie simplement, encore une fois, pour chacun d’entre eux, de vouloir le meilleur, le meilleur de l’univers pour chaque personne, pour le plus pauvre, pour le plus riche, pour le plus dangereux et pour le plus docile et gentil, pour chacun d’entre eux d’offrir la paix, d’offrir la gratitude de sa présence sur la terre en ce moment, dans ce moment de transformation. Pensez-vous qu’un père, que le Père puisse maudire un seul de ses enfants ? Mais quel père serait-il ? Il ne juge pas, il ne condamne pas.

Alors quand nous évoquons ce discours vous entendez souvent : oui mais alors, cela signifie donc que Dieu accepte les meurtres, que Dieu accepte les viols et que Dieu… non, non, ne confondez pas les errances humaines avec l’acceptation Divine s’il vous plait. Ces choix que l’humain fait, il en est son propre juge, mais c’est cet humain qui va se juger au moment opportun, et qui recevra ce jugement Divin au moment opportun, pas le Divin. Ne transformez pas le Père en un juge, il n’est pas celui qui condamne, il est celui qui observe. Il n’est pas toujours celui qui observe avec joie ce Père, vous l’appelez Seigneur ou Dieu, vous l’appelez comme vous voulez. Il n‘est pas que celui-là, il n’est pas celui qui crée l’expérience, il est celui qui, j’allais dire, écoute chacun d’entre vous, accepte chacun d’entre vous et permet tout.

Alors vous me direz, comment un Dieu bon peut permettre de telles exactions ? Peu importe à quoi vous pensez, c’est toujours la même chose. Il permet tout, parce que ces exactions sont une illusion dans l’illusion, parce que c’est bien vous qui prêtez de l’importance à cela, parce que cela vous permet de vivre une expérience grande et importante de cesser cela. Il ne s’agit pas de répéter les erreurs, mais d’apprendre l’amour, à chaque fois, d’apprendre l’amour. A chaque fois d’apprendre à aimer encore plus, et pas à détester encore plus mais à aimer encore plus. Comprenez ceci et c’est très important : il faut souffrir énormément pour faire souffrir, il faut avoir énormément peur pour avoir peur, il faut avoir été dominé pour dominer. Alors comprenez que ceux à qui vous portez souffrance, que ceux à qui vous souhaitez autre chose que la paix, vous ne faites finalement que de renforcer des souffrances qui existaient déjà en eux. Vous ne faites que renforcer le phénomène plutôt que de l’arrêter. Voulez-vous être un agent de la paix ou quelqu’un qui empêche la guerre ? Empêcher la guerre c’est qu’elle pourrait être générée, s’il n’y avait plus de guerre il n’y aurait plus de soldats comprenez bien cela. En cela je vous invite encore une fois à la gratitude de tout ce que vous avez et à comprendre que vous êtes des guerriers pacifiques, des guerriers de lumière, des gens qui avancent, qui se permettent ces nouvelles idées dont j’ai parlé, qui s’autorisent à recevoir cela, qui bien sûr agissent, je ne vous ai pas demandé de ne rien faire, je ne vous ai même pas exhorté à ne rien faire. Je ne peux que vous inviter à tous les mouvements de votre âme, à tout ce que vous sentez bon de faire,mais jamais dans le sens de la destruction s’il vous plaît. C’est pour vous, c’est pour vous éviter de vous condamner, c’est pour vous éviter votre propre peine et votre propre jugement que je vous dis cela. Agir dans la violence, agir j’allais dire dans le déni de l’autre, c’est se renier soi, c’est toujours se faire du mal à soi, vous ne faites jamais du mal à quelqu’un d’autre, jamais, c’est toujours à vous-mêmes. Vous enlevez une partie de vous-mêmes à chaque fois que vous faites cela à quelqu’un d’autre. C’est permis encore une fois et celui qui observe, le Père, n’est pas celui qui vous condamnera, c’est vous-mêmes qui allez vous condamner, de plus en plus. De plus en plus cette loi karmique va mettre votre propre balance en route, dans une seule vie, dans un seul instant, dans un seul temps. L’énergie du temps créant les espaces de votre vibration étant en accélération majoritairement, fait que la majorité de vos axes et de vos pensées vous reviennent beaucoup plus rapidement qu’à attendre la fin des temps, qu’à attendre la fin des moments que vous créez pour les vivre. C’est bien cela la fin des temps, c’est la fin où vous cessez, vous, d’exister, c’est-à-dire de créer du temps pour vivre des expériences, parce que c’est vous qui créez le temps chers amis, c’est bien vous qui créez le temps.

Le temps n’est pas une expression de la masse comme vos scientifiques le croient encore aujourd’hui, c’est plutôt l’inverse, c’est l’espace qui crée le temps, et le temps génère des espaces, c’est une boucle, mais on ne peut guère jouer entre l’œuf ou la poule comme vous dites. Qui a commencé, qui a terminé ? Il vous faut un temps pour vivre un espace qui génère un autre temps. Mais la fin des temps, c’est la fin des moments où vous n’avez plus besoin de générer un espace en 3 dimensions pour vivre une expérience. A ce moment-là vous appelez cela la mort peut-être, mais à ce moment-là vous vous condamnez pas mal, vous-mêmes, et vous décidez de revenir pour expier encore et encore et encore, des fautes parfois relativement illusoires, mais souvent vous voulez la perfection, et c’est ce que nous aimons, ce que j’aime chez vous, dans cette humanité, c’est cette envie de perfection dans l’amour que vous avez tous. C’est ce qui fait que vous revenez pour vivre la perfection dans l’amour. Mais je vous le dis maintenant, en vérité, ceci peut être fait dans cette vie, ceci peut être fait maintenant, à chaque instant, à chaque seconde. Vous pouvez vous pardonner ce qui est, ce qui a été et changer votre espace, changer votre vision de ce qui est au profit d’autres choses, d’inspirer, pas quelque chose que vous aurez créé.

Si vous continuez à créer avec la conscience que vous avez eh bien vous allez continuer à créer les mêmes erreurs, les mêmes circonstances. Il s’agit de créer avec une conscience supérieure. Pour créer dans cette conscience supérieure, c’est pour cela que j’insiste dans cet enseignement ce soir, vous devez, vous pouvez et vous êtes invités à commencer par la gratitude, par le fait d’apprécier ce que vous avez mes frères, mes sœurs, mes enfants, par le fait d’apprécier des corps qui fonctionnent, par le fait d’apprécier d’avoir été nourris aujourd’hui. Vous savez, l’enseignement de l’être qui s’appelle Bouddha consistait à dire que pour vivre heureux, comme vous le dites, il faut vivre sans désir, ne rien désirer, parce qu’en vérité, ce qui crée votre malheur, ce sont toujours des désirs inassouvis. Je parle de désirs, je ne parle pas de besoins élémentaires qui sont bien logiques, mais bien de désirs au-delà de cela, de désirs supérieurs à ce qui est élémentaire, des désirs supérieurs à la survie dans ce monde. Tout cela vous apporte le malheur. Alors tout est fait pour que vous soyez dans un monde de désirs, dans un monde de péchés diraient certains de mes frères et sœurs ici.

Mais quel est ce péché ? Attribuer encore plus de sens à l’illusion, la rendre plus agréable, plus acceptable. Mais elle est toujours agréable, elle est toujours acceptable quand vous comprenez qu’elle est jouée par vous-mêmes, quand vous comprenez que c’est vous qui jouez la pièce, que c’est vous le chef, que c’est vous qui commandez votre propre expérience, que c’est vous qui l’avez désirée même si vous la trouvez pénible, malheureuse, stupide, inefficace. C’est tout de même vous qui l’avez demandée. C’est tout de même votre âme qui a fait ce choix d’expérience. Mais dans ces temps qui bougent, dans ce temps accéléré vous pourrez demander à changer l’expérience : je désire le meilleur pour moi et pour chaque personne dans ce monde. Ne vous oubliez pas et n’oubliez pas les autres. Vous pourriez dire : pour chaque personne en ce monde et pour moi, cela ne change pas grand-chose à cette phrase, ni même dans l’énergie, surtout quand vous comprenez que les autres, et ce vous, ce moi, sont la même personne. Je vous invite tellement à embrasser de votre amour tous ces gens qui souffrent plutôt que de les condamner. Je vous invite à aider toute personne qui peut être aidée, plutôt que de juger qu’elle devrait travailler et qu’elle devrait faire quelque chose.

Qui êtes-vous pour connaitre la vie de chaque un, pour connaitre l’expérience de chaque un d’entre vous, chaque unité que vous représentez ? Pourquoi juger ce choix ? Parce qu’il est fort probable mes frères, mes sœurs, que le choix que vous voyez devant vous et que vous jugez négatif, ait été dans une autre vie votre choix et que vous auriez fortement apprécié que quelqu’un ne vous juge pas, vous prenne dans ses bras et vous dise : viens, je t’accepte toi, tel que tu es, essayons de transformer ce monde ensemble, je ne te juge pas, je ne te condamne pas, j’essaye de t’aider si tu l’acceptes, puisque vous ne pouvez pas forcer l’aide. Forcer l’aide c’est aussi un jugement. Je vais pouvoir aider. Mais n’aidez que ceux qui en font la demande ou qui l’accepte, à minima. Forcer cette aide, forcer ce pouvoir, certains le font. Certains, vous l’aurez remarqué, décident à votre place de ce qui serait bon pour vous, de ce qui serait bon pour leur pays, de ce qui serait bon pour la planète. Mais ces représentants sont-ils vraiment dignes de la planète, de vous, ou d’un pays ? Sans doute, c’est l’expérience que vous avez décidée, ne l’oubliez pas, voyez, vous alliez recommencer à juger. Déjouez ce jeu pour vous. Bien sûr qu’ils sont à leur place, mais bien sûr que s’ils doivent changer vous pouvez participer à ce changement, parce que, vous changer vous, c’est les changer eux. Commencez par ce qu’il y a de plus simple, vous-mêmes.

Appréciez, j’insiste, appréciez ces moments que vous vivez. Appréciez cette expérience merveilleuse d’une planète fantastique telle que la vôtre. Je ne veux pas jouer ici les Cassandre, les oiseaux de mauvaise augure, comme diraient certains, et je ne fais aucunement une prédiction, aucunement. Mais que ce passerait-il si une météorite détruisait la moitié de la côte ouest des Etats Unis ? Votre monde, vos climats, votre exercice de vie seraient complètement bouleversés. Chacun d’entre vous dirait : je n’ai pas su apprécier le moment présent, je n’ai pas su apprécier cette existence, et aujourd’hui elle est si terrible, que vous aurez compris que la force de gratitude se met dans le moment présent. Elle ne se met pas dans les moments pénibles à se dire : ah c’était bien quand j’avais. Mais c’est bien quand j’ai, là, maintenant. Pas de vous dire:oh ma santé pourrait être tellement mieux, mais ma santé est encore là, je suis encore de ce monde, vivante. Et c’est cette graine de vie en moi que je veux faire pousser, grandir, évoluer, je libère maintenant cette maladie, parce que je l’accepte. Je la libère parce qu’elle m’a traversée, c’est l’expérience que j’ai souhaitée, je libère cette expérience. Libérer l’expérience de la maladie, c’est parfois s’offrir sa guérison, j’ai dit parfois puisqu’il faut parfois chercher le sens de l’expérience, pas le pourquoi, le sens, et quand je dis le sens de l’expérience, le sens de manière globale, c’est toujours de vous amener à comprendre que vous êtes l’énergie qui peut vous auto- guérir, pas de chercher forcément la signification d’une maladie, mais de comprendre que cela vous amène à être le maître de vous-même, que cela vous amène à être le maître de votre santé, pas à comprendre pourquoi votre corps dysfonctionne mais pourquoi vous êtes celui qui peut remettre cette énergie en ordre, pourquoi vous êtes celui qui s’auto- gouverne, pourquoi c’est vous qui décidez de votre santé. C’est dur à attendre, souvent de votre part, mais c’est bien vous qui décidez souvent de votre santé. Parce que dès qu’on dit cela on dit : mais je n’y peux rien, il y a un microbe, il y a une énergie… mais c’est quand même vous qui l’avez accepté, c’est quand même vous qui avez préparé ce terrain, parfois volontairement, certes parfois un peu involontairement, mais globalement de toute façon votre âme connait l’expérience qui va lui arriver. Mais maintenant choisissez d’être le maître de ce corps, le maître de ces énergies. Parlez à chacune de ces cellules en amour : je vous aime, vous êtes maintenant réunies, réunissons-nous, oublions ces expériences du passé, pardonnons-nous ces expériences du passé, passons ensemble à autre chose, magnifions ce corps, amenons-le plus haut, plus loin, transformons-le dans le véhicule de lumière qu’il est, pour que je reçoive l’énergie de ce plan. Ceci est une prière pour vos cellules, pour renforcer l’énergie en vous, pour renforcer vos circuits énergétiques, pas pour les juger, pas pour les condamner : oh pourquoi mon corps me lâche… Il ne vous lâche jamais, il ne vous a jamais lâché, le jour où il vous lâchera vous ne serez plus là, vous serez ailleurs et c’est vous-mêmes là aussi qui l’aurez décidé, mais vous aurez cette compréhension, je n’ai pas tellement à exprimer ce qui se passe après, puisque vous aurez cette compréhension de l’après.

L’expérience de vie est une expérience fantastique, une expérience qui vous invite en permanence à accepter ce qui est, à être en gratitude pour ce qui est et à changer, quand vous aurez accepté l’état qui est ne pas vouloir le conserver, c’est une erreur là aussi souvent commise par l’être humain. Vous êtes venus vivre l’expérience de la Divinité, donc vous devez faire l’expérience de la Divinité, pas essayer de maintenir la position la plus stable, la plus tranquille possible, mais de toujours être en mouvement dans cette énergie, de toujours avoir des envies, de toujours avoir des motivations. Vous savez bien qu’en ce monde et en votre monde, ceux qui n’ont plus d’envie, ceux qui n’ont plus de motivation rejoignent à nouveau notre monde pour décider d’une autre expérience et revenir à nouveau. Permettez-vous de nouvelles aventures, permettez-vous de témoigner encore et encore de la lumière qui vous habite. Autorisez-vous cela. Gratitude infinie à qui vous êtes, à ce que vous êtes et à ce que vous représentez sur ce plan. C’est le message que je suis venue vous apporter ce soir, mais je voudrais laisser l’archange Michael vous parler aussi, d’autres choses, pour vous-mêmes. Soyez bénis mes enfants, recevez tout mon amour dans ces moments de transformation que tout le monde vit, que tout Le monde, Les mondes, les vit.

Merci !


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Sylvain Didelot

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