Par Ethan White
On disait que c’était impossible, mais le Zimbabwe a renversé le scénario de l’économie mondiale. Avec le dévoilement de l’or du Zimbabwe, ou ZiG, le monde est forcé de regarder avec admiration ou de se recroqueviller dans la peur alors que l’échiquier de la finance internationale est réarrangé sous nos yeux. Il s’agit d’une déclaration de guerre audacieuse contre le chaos ambiant de l’instabilité économique.
Plongeons plus profondément dans les mécanismes qui sous-tendent ce changement révolutionnaire : le système financier quantique (QFS), la réinitialisation globale des devises (GCR) et les processus de réévaluation (RV). Il s’agit des rouages d’un gigantesque engin destiné à écraser le système obsolète et exploiteur auquel nous avons été enchaînés.
Le QFS n’apparaît pas seulement comme une nouvelle méthode, mais comme un salut, mettant fin à l’ère sombre de la manipulation par les élites financières et leurs banques centrales fantoches. Imaginez un monde dans lequel la valeur de votre argent n’est pas déterminée par des chiffres obscurs, mais par quelque chose d’aussi incorruptible que l’or. Telle est la promesse de la ZiG, soutenue non pas par de minces promesses, mais par de l’or solide, une monnaie qui a vraiment du mordant.
Au Zimbabwe, il s’agit d’une bouée de sauvetage tangible lancée à une population meurtrie par l’hyperinflation et les échecs économiques. En liant son avenir à l’or, le Zimbabwe claque la porte de la grotesque maison de jeu de la finance spéculative qui a appauvri tant de gens. C’est une attitude de défi, un sort protecteur jeté contre les arts sombres de l’instabilité financière.
Ne passons pas sous silence la GCR et la RV, qui sont fondamentales pour cette transformation colossale. Il s’agit d’un recalibrage complet des valeurs financières mondiales, qui efface les fondements pourris d’un système truqué. Et la réévaluation ? Il s’agit d’un recalibrage radical des valeurs monétaires afin de refléter la véritable valeur nationale, une correction attendue depuis longtemps du miroir déformé du commerce mondial.
Au milieu de tout cela, la libération spirituelle et matérielle promise par GESARA brille comme un phare. Il ne s’agit pas seulement de chiffres sur un bilan, mais d’une profonde révolution spirituelle, d’un réveil de la servitude fiscale, d’une chance de se libérer enfin de l’emprise de la dette. C’est là que se trouve la voie d’une transformation profonde, où chaque être humain peut être digne, libéré du poids oppressant du désespoir économique.
Imaginez un monde où les réformes de GESARA ne remettent pas seulement les compteurs financiers à zéro, mais enflamment également l’esprit humain. Des coins oubliés de la planète, les gens se lèvent, les yeux ouverts, l’esprit ranimé par le feu de la liberté légitime. Ils entrent dans un monde nouveau, non pas fait de domination et de tromperie, mais d’équité et de lumière.
Cependant, il faut faire face aux inévitables obstacles. La VR pourrait entraîner une pénurie temporaire de main-d’œuvre qualifiée, ce qui pourrait provoquer une hausse des salaires – un petit prix pour un gain monumental. Ce contretemps n’est rien en comparaison des avantages sismiques qui résulteront de l’évaporation des charges fiscales monstrueuses et, avec elles, des pressions inflationnistes qui nous ont étouffés pendant des générations.
Considérez les implications des technologies supprimées qui voient enfin le jour – des technologies qui exploitent les énergies vierges de la nature, transformant les friches en jardins, la pénurie en abondance. Des technologies qui auraient pu révolutionner notre monde il y a des dizaines d’années, mais qui sont aujourd’hui libérées pour nous propulser vers un avenir si brillant qu’il est presque inimaginable.
Et ne parlons pas des banques, maîtresses historiques de nos destins économiques. Dans le nouveau système, elles deviennent obsolètes, vestiges d’une époque d’exploitation révolue. Notre avenir ne sera plus hypothéqué par des institutions qui se nourrissent de notre servitude. Les chaînes se brisent et, à mesure qu’elles se brisent, nous entrevoyons l’aube d’une nouvelle civilisation, une civilisation qui ne mesure pas sa valeur par l’accumulation, mais par le potentiel illimité de son peuple.
Au fur et à mesure que ces changements titanesques se déroulent, la pyramide du pouvoir – le terrain de jeu de l’élite mondiale – s’effondre. C’est la démolition des barrières qui ont artificiellement divisé l’humanité. L’énergie gratuite, les transports révolutionnaires et les progrès technologiques inimaginables se profilent à l’horizon, prêts à être exploités par tous, et pas seulement par quelques privilégiés.
Dans ce nouveau monde, les anciennes chaînes de l’esclavage et de la servitude n’ont plus leur place. Nous allons au-delà de la simple survie, au-delà de la routine quotidienne, dans un domaine où l’humanité peut enfin explorer son potentiel illimité, sans être entravée par des contraintes artificielles.
Le saut audacieux du Zimbabwe n’est peut-être qu’un début, mais c’est un pas de géant vers un avenir où la liberté n’est pas seulement un rêve, mais une réalité vivante.
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Traduit et partagé par la Presse Galactique
