par Ozalee
À quoi aimerais-tu croire? Quand la panique déborde. Quand la peur vient grignoter ce qu’il reste de raison?
À quoi voudrais-tu croire? Quand vient le temps de trancher et ne plus reculer?
À quoi aimerais-tu croire? Si ce n’est à cet espoir que le monde retrouve son suprême, et que nous arrêtions d’étouffer ce qui veut émerger.
Que n’oses-tu pas dire? Qu’est-ce que tu crois pouvoir te sauver de tes ombres, de tes colères, de ton avenir? Il y a toujours besoin d’un élan quand vient le changement. Un élan pour ne pas se laisser submerger par ce qui ne t’appartient pas. Un élan pour te rappeler que c’est toi qui décide. Même quand des portes se ferment, même quand l’humeur se fait terne. Il y a toujours cette option de continuer de vivre. Une option qui ne devrait pourtant pas en être une.
Alors oui, voir l’illusion pour mieux créer sa vie.
Alors oui, voir au-delà de nos existences pour se rappeler nos connexions. Nous ne sommes pas aussi seuls que les conjectures actuelles semblent le montrer. Mais peut-être as-tu perdu le sens, as-tu perdu la vue, parce-qu’il y a eu mauvaises nouvelles, incertitudes, ou encore crises.
S’il y a une chose à célébrer durant ce cycle c’est la douceur à toi-même. C’est cette décision de ne pas nourrir ce que tu crains mais croire et agir vers ce en quoi tu crois. Il n’y a rien qui ne soit inaltérable à part ton âme. Cette part de toi qui est prescience. Cette part qui ne demande rien à part que ton coeur s’ouvre au-delà de la dualité.
Celle des parts de toi. Celle de l’Autre et toi. Que vois-tu en l’Autre qui t’effraie? Que vois-tu en toi que tu n’oses toujours pas?
En cette nouvelle lune, il convient de laisser se dissoudre les problèmes non pas en agissant, mais en acceptant. Non pas en s’arrêtant, mais en s’élevant. Non pas en niant mais en nommant.
Et il n’y a pas que les mots qui nomment. Vois au-delà de ceux-là et de tes projections. Vois au-delà de tes peurs – et celles du monde – pour te ramener au centre de ta vie.
Comme d’habitude, voici également la vidéo.
