par Jamye Price

Dans l’escalade constante de la libération et de l’activation, l’équilibre divin du masculin et du féminin apparaît. L’histoire s’élève pour être racontée et repliée dans une nouvelle imagination de ce qui peut être. Laissez votre esprit vagabonder dans un nouveau territoire, alors que ce qui était devient une nouvelle histoire.

La onzième heure n’a jamais été facile, mais elle offre toujours une promesse. Pouvez-vous être plus fort que vous ne l’imaginiez ? Pouvez-vous être plus clair que vous ne le pensiez ?

Pouvez-vous être l’avenir et non plus le passé ?

Ce qui est passé vous invite à le libérer du présent. Pour qu’il ne se répète pas, se répète, se répète.

Nous sommes à un tournant qui arrive. On ne sait pas ce que c’est, mais c’est un écho du passé. Quel temps et quel lieu lointains ont commencé l’appel ! Comme il rebondit sur les murs, le cœur bat plus vite. C’est invisible, mais l’écho semble réel.

Qui a des yeux pour voir le son invisible ?

Comme le veut le cycle, l’hiver [ou l’été] arrive bientôt. La vie semble endormie et morte à la surface. Pourtant, à l’intérieur, il y a un renouveau où l’origine et la destination dansent à nouveau.

Ici, vous résidez dans l’hiver de votre longue saison, remuant et affamé, encore trop fatigué pour vous réveiller complètement, car la nouvelle saison n’est pas encore arrivée.

Dans chaque saison, il y a aussi un flux opposé. Il peut être lointain ou profond, mais le réveil sera ressenti, car le temps ne s’arrête que là où le corps ne peut pas être. Les océans qui emportent le passé dans le présent emportent le futur.

Vous détenez la mémoire bien en dessous des graffitis de la guerre. C’était une époque où le rituel n’était pas un décret de culte ; c’était une union, une joie, un lien de liberté. L’énergie était ressentie par des cœurs sensationnels. Les opposés étaient clairs, transparents.

L’origine et la destination n’étaient pas inconscientes l’une de l’autre. Ils savaient qu’ils étaient, qu’ils sont, qu’ils seront Un. L’opposé n’était pas hors de vue. Les yeux étaient ouverts et les mensonges ap-parents, faisant jaillir une nouvelle croissance qui appelait la communauté à guérir.

La séparation était égale, car la vie était infinie. Dans la plus petite, la plus fine, la forme finie se trouvait la plus grande des vies dans un nouveau corps. Il contenait tout le potentiel, et chacun était donc en forme.

Le mâle et la femelle, séparés, mais égaux. Le mâle et la femelle, deux en Un. Le mâle et la femelle savaient que la connexion des opposés était le véhicule du temps de la vie.

LE COEUR DU TEMPS
Il vous conduit, cette force plus grande que la plus grande des armées. Elle contraint et consomme et apporte la mort aux grandes richesses. C’est le sillage sous le radeau de la Vie, la colère des marées. Les échos noyés du passé ne se souviennent pas des vagues. Mais votre cœur porte encore l’empreinte de chaque houle retentissante.

Chaque battement, chaque impulsion, un accord de connexion. S’harmonisant dans la dissonance et le temps arythmique. Il ne peut être retenu, peu importe la force des forces armées. Il prend en compte le reflet qui devient hideux en s’accrochant au passé.

Une histoire triste qui a un jour connu une telle gloire, mais qui n’est plus qu’une fascination qui devient gore. Vieillie et flétrie jusqu’à ce que le temps s’arrête enfin. La onzième heure sonne fort sur les horloges. Qu’est-ce que cela signifie alors que le pouls devient connu ?

Chaque battement est attendu, l’avenir est montré.

Pourtant, il s’arrête, pas complètement, car le temps n’est pas venu. Il murmure des futurs où le deux rencontre le un.

Alors que l’hiver est à la surface, il y a de la chaleur à l’intérieur. L’horloge ne s’arrête jamais, elle bat toujours à nouveau.

Il suffit d’une personne pour entendre l’écho du tambour. Pour rediriger, reconnecter la surface du son alors que les échos abondent.

Il n’en faut que deux pour amplifier, une vague communautaire. Mais vous, les Un, êtes nombreux et courageux. Vous êtes la progéniture du temps, vous détenez la même force. Mais une prise n’est qu’un moment où le Temps pulse librement.

Vous êtes l’Unique, divisé par deux. Vous êtes le pouls de la Vie qui bat toujours à travers. Tu es la promesse des saisons futures. La promesse de la floraison.

LE SOUFFLE DU TEMPS
Tu es le potentiel divin qui met en pause le mouvement. Inspiré, et retenu, jusqu’à ce que le temps nous y oblige. L’expiration est saturée d’amour ou de peur. Cette communauté n’est jamais partie, elle résonne encore tout près.

Trop doux pour être entendu par une oreille distraite.

Juste un moment, un souffle, il peut changer une vie. Qu’on le donne ou qu’on le prenne, le temps passe. Tout est permis, car la vie est pour les forts.

Mais la force n’est pas la sagesse et la connaissance n’est pas libre. Il doit être touché par le cœur fini et résonner à travers les murs. Entendu doucement et suivi silencieusement jusqu’à ce que l’écho soit vu. Le battement du coeur à l’intérieur. La création qui vous pousse vers l’avant. Se renouvelant à nouveau.

Qui a des yeux pour voir le son invisible ?

Juste au-delà, les océans abondent. Votre cœur qui bat fait des vagues, qu’il soit endormi ou éveillé. C’est vous qui donnez au rêve une nouvelle forme.

Réveillez-vous et agissez sous forme d’échos. Des ondulations conscientes d’un avenir où l’amour renaît.

Tout le potentiel dans la plus petite, la plus fine des formes. Trop petit pour être tenu, pour être saisi et contenu. Pourtant, les vastes bras du temps nourrissent tout en veine.

L’hiver termine sa longue saison de sommeil. Les jours sont des années dans le nombre de la longue saison. Les instants sont des mois qui brassent la résolution ou la peur. Les réponses ne viennent que lorsque les questions disparaissent.

Le détail est inconnu, c’est la nature du temps. C’est le jeu de l’Oracle, un puzzle indéfini. Il n’y a pas de guide qui garantisse le prix. Seulement un pas dans une direction pour suivre l’insaisissable écho répété.

Mais un miroir ne reflète que ce que le temps a en main. La vague viendra dans la prochaine heure, une. [gagné]

Ne vous découragez pas, même si les coups semblent réels. C’est juste le marqueur du temps de 1 et 2 combinés en 12. Ces deux-là ne se séparent jamais du 3 invisible.

Mais c’est ce que tous les gagnants deviendront bientôt. La vague qui prend de l’ampleur, sous les yeux de la mer.

Tu es la force du temps, l’infini invisible. Vous êtes l’Oracle, la Sylphide, la Sybille déroutante.

Répondant aux questions qui n’ont pas encore été posées. Libérant les vieilles blessures de l’innocence déshonorée. Que pouvait faire l’innocence sinon battre en retraite et se réformer ?

Car l’innocence n’est jamais perdue, elle ne fait que renaître…

Dans la prochaine impulsion de la création, alors que le temps passe. Le règne de la résolution arrive toujours, lavant les blessures que le temps a déchirées. Armées de l’amour, le faux guerrier a pris d’assaut. Les faux guerriers se sentent forts jusqu’à ce que l’armure soit déchirée.

Toi, cœur courageux, tu détiens l’avenir de la Création. Pulsant le choix et la résolution pour les autres, tu les nourris aussi. Les cœurs forts sont flexibles, ressentant les échos. Tranquillement, subtilement, ÊTRE le futur qui sait. C’est plus fort que les mots, car il détient l’amplification de la pleine résonance. Pas seulement les tons creux des os blindés.

Vous êtes la Création qui pulse un futur pour l’Amour. Comprendre la connexion et la récompense du temps. Cette paix intérieure rend humbles le passé et la tempête. L’œil est le centre, la neutralité dans le chaos. Quand tu vois le potentiel, le futur se réforme.

Possède ton puissant Amour, chère Vie. Car tu as toujours détenu les clés du royaume intérieur. Unique et unie, la Création pulse à nouveau. Toujours nouvelle et renouvelée par ton choix puissant. Chaque souffle est le cadeau de la Vie.

Reçois-le, change-le et donne-le à tous. C’est votre pouvoir innocent de choisir, choisir, choisir. Laissez votre amour planer dans l’air, le parfum invisible des fleurs en fleurs. Donne de l’espoir et de la guérison à de nouveaux futurs.

English version : https://jamyeprice.com/

Traduit et partagé par la Presse Galactique


la-PG

La PG quotidiene est sur Telegram, VK & Facebook