11.12/2022 Austin Texas

11.12/2022 Austin Texas

Vidéo: https://vk.com/video647796984_456242552

Le chant du Phénix est le chant de la libération… l’Envol, l’Heure venue des prophéties, le nouvel éther, le Mariage avec notre Double…
L’âme se consume alors dans le dernier Feu, laissant apparaître le Phénix ressuscité de ses propres flammes, incorruptible, et dans un nouveau Feu où jamais les flammes ne faiblissent.

C’est la fusion Christique…

Voir avec le Cœur ne peut pas tromper…
La Lumière du Cœur émerge aussi par notre regard extérieur…
Voir au-delà de l’apparence, voir au-delà de ce que voient les yeux…
La clarté et la profondeur ne sont pas les mêmes.

Ressens en toi-même ce nouveau regard qui apparaît. C’est un feu de transformation… il va transformer ce qui est regardé, révélant, en quelque sorte, la Lumière derrière l’apparence, la Lumière cachée dans les profondeurs…

La vérité est que le Feu nouveau ne sortira pas seulement de notre Cœur, mais aussi de nos yeux… (le Regard aimant)

La vision des yeux était celle de l’âme…

Le fait de se regarder établit un contact au niveau de l’Âme.
L’œil étant le miroir et le reflet de l’Âme…

La crucifixion de l’égo par le passage au Cœur…
L’Abandon du Soi au Soi Divin…
Le vécu Christique des feux du Phénix, de notre Double, la vision du Cœur avec des yeux de Feu est celle du Christ ressuscité…

C’est-à-dire que la Lumière va pouvoir, par ce “détartrage” des yeux, transformer en Vérité ce qui est regardé.
Le regard va donc se charger d’une intensité, d’une Lumière, qui n’a jamais existé…

Ce “détartrage” des yeux ouvre l’Esprit à d’autres réalités, à la Vérité cachée…

Ce “détartrage” des yeux amène la conscience à voir ce qu’elle ignorait ou voulait ignorer.

Ce nouveau regard n’est plus séparé, mais directement fécondé par le Cœur, c’est un regard qui véhicule la lumière et qui est agissant… il fait partie du processus de la forme illuminée et enluminée par la Blanche lumière…

Il y a un cheminement à vivre pour ceux qui pénètrent dans la lumière, degré après degré… il n’y a pas de fin dans ce passage, cette métamorphose d’un monde à l’autre.