Par Philippe François

L’enfermement dans un microcosme nous a fait croire en nous privant de notre multidimensionnalité que la vie était inscrite entre la naissance et la mort…
L’expérience en ce monde est l’enfermement dans une forme fixe, Toute forme n’est qu’un état transitoire de la conscience, liée à la manifestation de ladite conscience.

Cela a conduit une majorité au déni de la lumière.
Quand notre forme disparaît, que reste-t-il ? : le sans forme.
Et ceux en ces temps qui y accèdent, disparaissent, vivent de la délocalisation le savent…
À ce moment-là, il n’y a plus de structure géométrique parfaite. Mais la forme est l’un des supports de la manifestation Dimensionnelle.

Dans les autres Dimensions : il n’existe ni naissance, ni mort, ni apparition, ni disparition.

Demande à ton entourage, s’il vit des blancs, des moments d’absences, des disparitions, des états de non-états, ou on est ailleurs, ou on n’est pas localisé dans la forme, et bien pour certains ça va être difficile d’accepter, pour une conscience ayant vécu dans un cadre limité, restreint, et enfermant, de concevoir qu’il existe, ailleurs, d’autres conditions, d’autres circonstances, et d’autres états de la
Conscience elle-même.

C’est un vécu, un chemin de vie, le mental limitant ne peut concevoir l’inconnu.

Nous sommes entrés, dans cette période de fin de cycle, de l’enfermement, il nous est donc offert la possibilité de sortir, de tout cycle, de toute naissance et de toute renaissance…

Les seules inquiétudes possibles mettant fin à la succession de vie / mort, de naissance / renaissance, sont simplement les ultimes attachements de la personnalité, à elle-même, aux tableaux de vie 3D résultant, exclusivement, d’un mécanisme nommé l’habitude…

Il y a donc à Suivre sa lumière qui conduit à vivre des détachements, des déprogrammations de la part humaine et de ses paramètres qui en fait est programmée, engrammée pour vivre ici-bas, ou elle a ses joies, ses peines, ses souffrances…
Ce n’est pas un chemin ouvert à Tous. puisque c’est le chemin de la transcendance Divine… de la métamorphose.

L’être humain en incarnation est obligé, par les conditions mêmes de sa vie, de se soumettre aux habitudes. Que cela soit les besoins physiologiques, que cela soit, vos activités les plus ordinaires se répètent inlassablement, de jour en jour, de mois en mois, d’année en année, tout au long de ce qui est appelé « notre vie ».
Cette succession et cette répétition d’éléments cycliques correspondent à l’enfermement au sein d’un temps linéaire.

Ce temps linéaire a été créé par l’enfermement, ce système solaire ayant été replié sur lui-même, ce qui a créé un microcosme, un dôme, une bulle, comme une bulle financière, mais les bulles un jour, elles éclatent…

Et là le dôme, il est percé par la descente des énergies cosmiques et Solaires du fait de l’alignement avec Alcyon, la Terre se redresse et bascule, la courbure se dé-courbe et l’angle de pénétration de la lumière change.

Cette création coupée de la Source a créé un espace temps, étant coupé des mondes de l’Unité ou le Temps n’existe pas…
Cette expérience nous a coupé aussi des énergies d’AMOUR, puisque pour les vivre, il faut que la conscience vive des délocalisations dans le sans forme…
Donc dans un autre espace temps, elle ramène alors au-delà des purifications de la conscience, des états de félicité, de renaissance, de joie, de Paix, de plénitude, de vacuité, de Silence, parce qu’elle accède aux plans de la Grâce…

En accédant à l’absolu, la linéarité du temps disparaît…
Il n’existe aucune habitude au sein de l’Absolu…

Ce qui s’avance, ce n’est pas la mort, ce n’est pas une naissance non plus, c’est, réellement, une Translation Dimensionnelle ; c’est à vivre, c’est un chemin de vie. Une expérience spirituelle, mystique et surnaturelle vue d’ici-bas, de l’enfermement…

Pour mettre des mots, la Résurrection ou la Renaissance n’est absolument pas une Résurrection dans la chair.
La métamorphose se passe dans la conscience et dans la chair, (le cocon, la chrysalide) et le verbe c’est fait chair.

C’est une renaissance à un autre niveau de Vibrations.

Puisque ce qui est éphémère ne peut devenir Absolu ou Éternel, c’est une translation dans un corps de Lumière, un corps d’éternité. Une fusion dans le double, le corps immortel qu’on avait laissé dans le Soleil pour vivre cette expérience ici-bas.

Ce corps, c’est nous qui l’avons créé en vivant la précipitation dans la densité, dans la poussière, cette dimension est remplie de poussière.
C’est un corps de poussière qui restera poussière, ce qui a demandé dans cette descente dans la dimension du fer, de faire une compression de folie, de nos structures énergétiques et subtiles, ainsi que de la mise en sommeil de notre multidimensionnalité…
Que certains ont commencé à retrouver ; dans le sens qu’ils sont localisés ici et ailleurs et même PARTOUT sans savoir où vraiment.
Ils sont dans leur corps (un doigt de pieds seulement) et dans le sans forme, c’est un vécu en Esprit, au-delà de la forme, il y a des étapes aux reconnexions…

La fin des Temps est la fin d’un monde, mais, c’est surtout, la naissance de la vraie Vie qui n’a ni commencement, ni fin…

Aujourd’hui, certains assiste en conscience et vive leur propre Résurrection dans les Demeures Éternelles.
Ce corps de matière carboné, comme ce monde, ne concerne aucunement ce que nous sommes…

L’ego s’inscrira toujours entre la naissance et la mort, et pourtant, nous ne sommes ni ce qui est né, ni ce qui meurt.

Nous sommes la Vie…..

La fin de la personnalité n’est que la fin de la chenille et la naissance du papillon.

Source : philippefrancois.com


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