Par L’instant du Phénix
Alors que le monde économique est dans une volonté de croissance horizontale, c’est-à-dire croissance pour une meilleure productivité, plus de bénéfices, plus de rentabilités, beaucoup d’entre nous s’orientent vers une croissance verticale.
Une élévation ontologique, plus en lien avec l’Être. Comme une ré-appropriation de notre humanité. Cette ouverture passe par la mise en avant d’une valeur fondamentale ; le respect du vivant.
Alors que la croissance à l’horizontale se fit à la connaissance artificielle, celle gérée et générée par les réseaux d’information virtuelle (si virtuel que l’on ne sait plus qui est derrière…) la croissance par l’élévation passe par une meilleure connexion à la connaissance intuitive : la prescience.
Mais ce que l’on y apprend peut surprendre, déstabiliser. Et c’est un puits sans fond.
Chaque jour, on croit savoir, et le lendemain… On s’aperçoit que l’on ne savait rien. Alors, on commence seulement à saisir, à comprendre.
Chaque jour, ça recommence. On grandit toujours un peu plus. Ce n’est pas simple à vivre, car cela nécessite de se remettre en question constamment. Rien n’est acquis. Ce que je pensais hier n’est plus vrai aujourd’hui. Cela conduit vers toujours plus d’humilités et, dans le même temps, vers toujours plus d’amour contre cette force incroyable du vivant.
Chaque jour nous apporte un nouveau fragment de vérité qui nous conduit vers plus de clarté. À ce propos, dans tout ce que je vous partage, je n’enseigne rien. Je ne fais que témoigner de mon propre parcours pour que cela serve, peut-être, à certains. À chacun de prendre ce qui résonne juste, de faire ses propres expériences, d’apprendre ainsi parce que lui présente la vie.
Pour autant, dans cette croissance verticale, faut-il rejeter tout ce qui est à l’horizontal, dans le monde de la matière ?
Notre incarnation passe par l’équilibre, équilibre entre le donner et le recevoir, le dedans et le dehors, entre mes racines terrestres et mes racines célestes.
Source : linstantduphenix.fr
