Par Foelia

Bonjour mes amis ! Aujourd’hui nous avons une question comme base de départ : pourquoi nos aspirations à créer un monde meilleur, plus en paix et en harmonie, se retrouvent souvent bloquées ? Créons-nous nos propres barrages ?

LOYA
Peut-être ne les créez-vous pas, mais vous les perpétuez. Tous vos barrages sont vos peurs, vos soumissions aux quatre grandes forces de rabaissement dont nous avons déjà parlé.

Vous avez peur de vivre, parce que vous avez peur de mourir. Et tout part de là. Vous avez imaginé une vie toute petite.

Ensuite, vous avez peur de la vérité, parce qu’elle vous engagerait dans des responsabilités plus grandes. Vous préférez le clair-obscure sécurisant que vous connaissez déjà, ou vous vous servez de la vérité pour régler vos comptes envers les autres.

Vous avez peur de la joie, parce que vous avez peur de la réaction des autres face à une joie trop grande. Vous préférez de petits plaisirs limités, pour ne pas vous exposer, ou des plaisirs extravagants et tapageurs, en réaction contre l’immobilisme que vous pensez percevoir chez les autres.

Vous avez peur de votre puissance créatrice, parce que vous craignez la déception. Vous vous satisfaites donc d’une vie sans risques, ou d’une course folle vers de nouvelles sensations, pour combler votre manque de lien au coeur.

Voici les blocages énumérés, mes amis. Je ne pourrais être plus précise. Et si nous les énumérons ainsi ensemble, c’est pour que vous puissiez voir comment se déclinent les vôtres, individuellement.

Où avez-vous peur de vivre plus grand ?

Que n’osez-vous pas encore montrer de la vérité que vous portez, de l’être que vous êtes ?

Quelle faculté de joie, de bonheur, de gratitude, étouffez-vous chaque jour sous mille prétextes ?

Quels projets magnifiques portez-vous en vos coeurs, en les camouflant derrière ce que vous pensez « impossible » ?

Ces forces vous rabaissent, diminuent l’ampleur de votre vie et de votre destin. Cela est un fait. Ce que vous êtes censés faire maintenant, ce n’est pas d’accuser ces forces, mais bien de trouver, en vous, l’antidote à ces forces. Vous seuls pouvez vous redresser et remercier ces forces contraires de vous permettre de réveiller et de révéler vos propres forces. C’est le jeu de la densité : ce bras-de-fer avec la matière pour prendre conscience de votre vitalité, de votre courage, de votre puissance et de votre créativité.

Oui, collectivement, ces forces de rabaissement sont encore bien nourries tous les jours, par vos démissions ordinaires. Mais nous voyons en même temps que vous êtes de plus en plus nombreux à reprendre en main votre mission principale : la totale responsabilité de vos actes, de vos paroles et de vos pensées, sans accuser quiconque de vous faire barrage. Mettre un genou à terre n’est pas un problème. Chaque jour, relevez-vous et cessez de croire en vos limitations. Soyez plus forts que vos peurs et osez vous offrir à la vie, tels des canaux limpides et dévoués. Ainsi, l’enthousiasme ne sera plus freiné et vous participerez, avec tous ceux qui fréquentent volontairement le même chemin de pacification, aux fondations de la vraie fraternité dans la densité.

Merci Loya !

Source : foelia.net

 


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