Par Michel Canon

N’ayons pas peur de parler de la peur.
Pourquoi la peur existe-t-elle ? En réalité, il n’existe que deux sortes de peurs, primales, naturelles, destinées à préserver notre intégrité physique. C’est l’instinct de conservation.
La peur de tomber et la peur du bruit, le danger en général…

Les autres peurs sont de nature psychologique, inculquées dès la naissance comme une forme d’hérédité transgénérationnelle.
Le conditionnement social (école, travail, information, etc…) renforce cet aspect invalidant de la vie, car toute l’existence va être basée sur cette peur artificielle.
Un socle existentiel, qui va majoritairement façonner les individus.

Une fois qu’elle est installée, il devient très difficile de s’en défaire, car elle fait partie intégrante de la psyché individuelle et collective.
Elle devient même indispensable pour maintenir les fondations psychologiques puisqu’elle en est le ciment.
Elle devient le moteur de la perception des événements, l’essence même de la fausse compréhension de l’environnement qui paraîtra souvent négatif malgré une réalité plus joyeuse.

Par conséquent, on peut être en ” manque ” de peur et la rechercher inconsciemment pour maintenir l’équilibre psychique. Perdre sa peur est un saut dans l’inconnu.
Grâce (oui, grâce) aux événements actuels, on observe un renforcement de cette peur liée à l’information. À tel point que, même si elle est positive, des individus trouveront toujours un contre-pied négatif pour empêcher sa disparition.

Nous sommes dans une inversion de situation. La peur de « perdre sa peur » engendre un renversement de la réalité et du discernement. L’objectivité n’existe plus et le libre arbitre est ébranlé.

Un exemple : un individu qui voit systématiquement une opposition contrôlée en politique est le symptôme typique de la peur d’être confronté au bonheur et d’être heureux.
C’est un antagonisme délirant, car être vraiment heureux demande l’effort de ne plus avoir peur… Au lieu de voir le malheur plutôt que le bonheur…

Le fait d’annoncer de bonnes nouvelles dans un contexte anxiogène implique la situation de perdre sa peur et, par conséquent, sa zone de confort psychologique.

Alors d’où vient cette peur qui n’est pas naturel ?…

Elle est artificielle et fut délivrée sans limites, depuis des siècles, par l’ex-cabale qui est éliminée.
Maintenant, cette peur dystopique est en cours de sevrage grâce aux événements scénarisés par l’Alliance pour amener progressivement dans la conscience collective les raisons de son mal-être.

C’était aussi un moyen d’empêcher l’humanité de prendre conscience de son origine divine afin de mieux la contrôler dans la division en contrariant l’unité.

La peur empêche de nous dépasser.

Elle a remplacé l’Amour inconditionnel par l’amour conditionnel et particulier qui masque la souffrance de l’être en appuyant son besoin de se réfugier dans une fausse compassion pour mimer le vrai Amour.

Voilà pourquoi nous vivons, dans l’histoire de ce monde, les instants les plus importants de l’humanité.

Éliminez cette peur artificielle pour retrouver votre souveraineté et votre libre arbitre, réfléchissez par vous-même en émanant un Amour indescriptible, car telle est la vibration la plus puissante de l’Univers.

Avoir conscience de cette peur pour ne plus avoir peur. C’est la raison de tous ces événements bâtis à dessein.

L’ombre sert la Lumière.

Michel

Source : https://vk.com/id745482690


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