Partie 1 ici…

Message de Catherine transmis par Aurélie Ledoux

Le voyage dans le monde de l’après-vie
J’en reviens donc au corps, à ce qu’il est, un savant assemblage de milliards de formes de vie harmonieusement combinées pour se mouvoir, penser, s’alimenter, dormir, se reproduire, vivre !

 

Cette vie passe aussi par la méditation, le développement spirituel, qui est très important en notre monde stressé.

 

Je l’ai dit, il était de nombreux nœuds émotionnels en moi. Le fait de les rejeter dans l’oubli, surtout de ne pas les assumer, a été la source de ma souffrance.

 

Aussi je vous invite à ne pas garder vos émotions enfouies en vous. Si vous bouillonnez de colère, laissez la sortir, de manière aussi modérée que possible, mais dites fermement ce que vous pensez, de manière déterminée, sincère. Cela vous fera un bien immense.

 

Notre monde n’est pas assez sincère, nous sommes soumis à des exigences sociales particulièrement contraignantes, parfois au regard, à l’approbation d’autrui. Tout cet apparat, toute cette façade, sont extrêmement superficiels, très néfastes à notre évolution intérieure. En n’étant pas en accord avec soi-même, en se forçant à accepter, à faire des choses dont nous n’avons point envie, nous nous éloignons inconsciemment de notre âme.

 

Nous devenons parfaitement opposés à ce que nous désirons. Nous en venons alors à ressentir de la rancœur, de la colère et souvent à développer une sorte d’amertume, de dégoût de la vie, qui nous masque un fait essentiel.

 

Le problème ne vient pas des autres, mais de nous- mêmes, de nos filtres intérieurs qui ne laissent plus entrer assez de lumière. Nous devenons extrêmement critiques, difficiles à satisfaire, égotiques, et hypocrites.

 

Nous sommes incapables de regarder quelqu’un dans les yeux et de parler avec notre cœur.

 

Ceux qui nous observent nous voient droits, imperturbables, confiants face à la maladie. Mais c’est une apparence de plus, un leurre de plus ! Nous sommes devenus si fiers que nous sommes incapables d’avouer nos peurs, par crainte du jugement. C’est un leurre de plus que l’on se fait à soi-même !!!

 

Ils louent notre courage et c’est encore pire !

Nous sommes incapables de songer une seule seconde qu’ils puissent nous voir affaiblis, souffrants et diminués. Quelle honte, n’est ce pas ?

 

Mais ce que nous n’avons pas accepté de vivre dans la vie nous rattrape dans la mort.

 

C’est ainsi que l’on se présente sur le haut plan lorsque nous sommes affaiblis spirituellement, moralement. Nous sommes bien obligés d’accepter l’aide d’autrui pour ce faire. Notre âme leur apparaît telle que nous sommes vraiment. Il n’est plus aucun artifice, masque, habit derrière lequel se dissimuler. Terminé tout cela. Terminé le plaisir de mettre mal à l’aise les autres avec notre maladie. Toutes nos pensées, nos intentions, nos peurs les plus secrètes sont connues d’autrui.

 

A présent, c’est nous qui sommes mal à l’aise. Nous regrettons de n’avoir pu agir autrement. Mais regretter ne sert à rien, il faut avancer, ais-je appris. Ce n’est pas en ayant honte d’une action que l’on parvient à faire la paix en soi-même, c’est en acceptant ses choix passés et présents que l’on se libère.

 

Nous avons toujours le choix de vivre sereinement ou de se créer un univers compliqué.

Le monde de la Terre est un univers extrêmement artificiel, fondé sur la mode, les tendances sociales. Boire de l’alcool, consommer des drogues, des plats trop copieux, festoyer, cela est bien vu. Multiplier les conquêtes d’un soir fait rêver n’est ce pas ?

 

J’ai dit que l’ascèse ne convenait pas à tous les êtres. Il en est de même pour les excès de toute sorte qui sonnent le glas de nombre de vivants. Tôt ou tard, nous récoltons ce que nous avons semé. En faisant acte de destruction, en épuisant notre corps, en le saturant de composés toxiques, nous nous exposons à laisser entrer des énergies inférieures de nature extrêmement dangereuse.

 

Le corps est notre temple, celui de notre conscience, et aussi celui de notre âme. Nous ne devons pas y laisser entrer n’importe quoi, par exemple regarder des émissions de télévisions absurdes ou des films noirs.

 

Tout ce que nous faisons a une incidence sur notre vie intérieure. Nous sommes responsables de notre bien être émotionnel, de nos maladies aussi.

 

Le corps comme demeure de l’âme est nié par certaines croyances. Sans entrer dans des détails religieux extrêmes, je dirai que cela est bien dommage.

Notre corps est composé d’un maillage très ramifié de tissus nerveux, sanguins, lymphatiques, et énergétiques. Cette énergie cartographiée précisément sur les schémas d’acupuncture est en réalité une interaction parfaite entre le corps physique et son double énergétique qui constitue le premier corps subtil.

 

Lorsque nous mourons, ce corps subtil se détache, absorbant toute l’énergie restante du corps physique par les différents méridiens en environ trois jours. Nous nous détachons, nous mettant à voler, à nous déplacer dans toutes les directions. Cela est merveilleusement agréable, même si au début, il est angoissant de ne plus sentir la gravité.

 

Nous absorbons nos mémoires, cellulaires, tissulaires, puis nous franchissons la Grande Porte, toute notre vie nous apparaît alors.

 

Elle me montre une image grandiose.

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Il s’agit d’un vaste paysage verdoyant paré de fleurs, de couleurs nombreuses et s’étendant à perte de vue. Il est vallonné, garni de rivières. Au milieu se tient un pont majestueux bleuté en forme d’arcade. Au centre du pont attend immobile une haute silhouette lumineuse indéfinissable. Catherine marche sur le pont, humblement.

 

L’être de lumière s’incline pour lui faire bon accueil . Elle revoit alors en son esprit tout de sa vie, son enfance, ses rêves, ses peines, ses espoirs, comment elle a pu grandir et évoluer dans la société. Enfin, elle revoit sa famille, tous ceux qu’elle aime, qui pensent à elle en cet instant avec tant d’amour.

 

Comment considérez-vous votre vie ? demande l’être de Lumière avec une immense bonté
Comme imparfaite, répond-elle. Je veux retourner là bas et recommencer, je veux retrouver ma famille, dit-elle en premier
L’image change, elle voit sa maladie, la souffrance qui a transformé son visage ces derniers mois. Elle repense à la douleur insoutenable.

 

Non, ce n’est pas une bonne idée, reprend-elle. Je ne souhaite pas recommencer, pas cela. Je souhaite juste, les revoir, les retrouver… S’il vous plaît.
Tout le monde a le choix, expose l’être de Lumière. Tout le monde peut toujours recommencer. Il faut le faire pour de bonnes raisons. Tu as traversé de grandes épreuves, de grandes souffrances. A présent, tu peux entrer en ce lieu de repos, de guérison. Tu le peux. Il te faudra avancer longtemps pour le trouver, en te dépouillant de tout habit de faux semblant de tout artifice, en abandonnant tout derrière toi.
Catherine le remercie, puis elle franchit le pont, avançant lentement, d’abord émerveillée, puis de plus en plus étonnée. Le paysage paradisiaque devient peu à peu plus broussailleux, le décor coloré s’est transformé en un lieu peu rassurant. Il s’agit d’une sorte de vaste montagne assez élevée parée de végétation sèche avec un ciel grisâtre et de nombreux rochers. Elle avance, de plus en plus lentement, chaque pas devient très difficile. Un sentier apparaît qui s’élève en nombreux virages jusqu’au sommet de la montagne. Se déplacer lui est fort pénible, mais elle continue. Il se met alors à pleuvoir.

 

Transie, elle atteint finalement le sommet, chaque pas est exténuant.

 

Elle est extrêmement affaiblie. Un panneau indique quelque chose de surprenant «  Le haut portail de la connaissance ». Des êtres de tous âges se tiennent en ce sommet un peu étrange.

 

Le lieu est plus humide et ressemble à un champ dégarni. Un très vieil homme s’approche et lui souhaite la bienvenue.

 

C’est la connaissance de soi, bien sûr, explique t-il d’un ton très serein habité d’une joie profonde. Êtes-vous prête ?
Je crois que l’on n’est jamais vraiment prête à se découvrir soi-même, répond elle avec honnêteté.
Cela n’est pas une évaluation, mais juste une découverte, chère enfant de la lumière, reprend l’homme vénérable, voyant combien elle est crispée.

 

Il lui désigne une paroi lisse très abrupte qui s’étend à une hauteur infinie, jusqu’à disparaître sous les nuages. Le décor est fantastiquement haut.

Je croyais que cette montagne était bien moins élevée, s’étonne t-elle.
Ici, tout fait partie aussi de votre univers intérieur. Cette vérité vous appartient. Je vous souhaite un heureux chemin.
Elle franchit résolument la muraille et se retrouve en une galerie couverte de miroirs de part et d’autres. Chaque miroir lui présente une scène de sa vie passée. L’ensemble la bouleverse.

 

Non, je ne suis pas aussi lamentable, se dit-elle résolument. J’ai traversé beaucoup de choses avec vaillance.
En effet, ces scènes reflètent pleinement quelle a été sa vie. Elles montrent quelle femme aimante, généreuse, affectueuse, emplie de joie, elle pouvait être. Cela lui donne plus d’assurance. Elle continue son avancée qui se fait peu à peu bien plus alerte. Ensuite, elle peut se remettre à flotter librement comme autrefois.

 

Le passage prend fin et aboutit à un lieu d’un éclat éblouissant, avec un simple rideau d’énergie. Elle le franchit et se retrouve en un décor féerique.

 

Cette fois, elle est entourée de nombreux cris de joie. Tous ceux qu’elle a perdus et aimés se tiennent là et se précipitent pour l’embrasser. Il y a ses parents, mais aussi ses amis, sa famille éloignée, ses ancêtres. Cette scène emplie de bonheur dure longuement.

 

Chacun pleure de joie. Il resplendissent d’amour, de santé et de bien- être. Catherine, elle, est très affaiblie.

 

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